Un démon tombé du ciel [PV Loki]
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Un démon tombé du ciel [PV Loki]
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Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
La porte claqua. Tu te redressas d'un coup, surpris. Noa venait de rentrer, énerver, de son cours de danse. Tu étais inquiet, ce n'était pas dans les habitudes de ta cousine d'être énervé. Tu terminais donc de lacer tes chaussures, tu allais partir courir, puis descendis pour voir une Noa, surexcitée, faire les cent pas dans le salon sous les regards incrédules de Rémi et de Rose. Cette dernière, osa prendre la parole et demanda, de sa voix fluette, complètement dans la lune : Tu es tombée à la danse ?
La brune tourna la tête et lança un regardé incendiaire à Rose. Alors que , même Rémi recula face à son expression, la benjamine de tes frères et sœurs sourit innocemment et tourna son regard vers toi :
Coucou, grand frère, tu as bien travaillé aujourd'hui ? Tu pars courir ? Noa est énervée pour une raison inconnue. La brune tourna la tête et lança un regardé incendiaire à Rose. Alors que , même Rémi recula face à son expression, la benjamine de tes frères et sœurs sourit innocemment et tourna son regard vers toi :
Tu déglutis, embêter que l'on t'ai remarqué car, même si tu t’inquiétais pour ta cousine, tu préférerais qu'elle ne te crie pas dessus. Tu souris donc timidement à ta sœur mais ne lui répondis pas directement, espérant encore te faire oublier. Manque de chance, Noa tourna la tête vers toi, te dévisagea avant de faire de même avec Rémi. Celui-ci ne semblait pas plus rassuré que toi mais ne bougea pas.
Soudain, Noa semblait se calmer. Elle s'assit sur le banc de la salle de séjour où vous étiez réunie. La jeune rose, repris la parole, de retour dans son monde : Noa, tu m'aides à finir mes devoirs .
La concernée se retourna, souriante et acquiesça. Tu soupiras de concert avec ton cousin, soulagé ; la tornade était passée, vous l’espériez en tout cas. Tu pouvais donc à présent partir courir, après ta journée de travail. Rémi remontait dans sa chambre alors que tu te dirigeas vers la porte quand Noa, d'une voix forte, vous stoppa nette :
Frérot, Loki ; restez là ! J'ai besoin de vous.
Tandis que, statufié tu n'osais plus bouger, Rémi, lui, répliquait, amusé :
Pourquoi je t'obéirai, gamine gâtée ?
La « gamine gâtée » se retourna et défia son frère du regard. Celui-ci, essayant d'abord de soutenir les yeux noisette de la jeune fille, détourna bien vite le regard, alors, ta cousine répondit, moqueuse :
Car, j'ai des moyens de te pourrir la vie, de belles photo, très compromettante.
Ton cousin dégluti tandis que tu tremblais : elle était démoniaque, comment avait elle pût être envoyée ici ? S'il y avait une personne dans la famille qui ressemblait à un démon, c'était elle. Pourtant, quand elle le voulait, elle pouvait être gentille, protectrice, sensible et très compréhensive. Mais, aujourd'hui, la jeune fille était en colère et le nom de démone lui sciait à merveille.
Ainsi, tu ne bougeais plus ainsi que Rémi, vous demandant ce que la jeune fille au cheveux courts et châtains avait en tête. Quelques minutes passèrent, où le seul son audible restait le chantonnement de Rose qui finissait tranquillement son exercice d’arithmétique sans se rendre compte de ce qui se passait dans son dos. Alors, Noa se leva, et monta dans sa chambre après vous avoir intimé de ne pas bouger. En montant, tu l’entendis saluer Louis qui sortait de la douche, ouvrir la porte de sa chambre et redescendre à toute vitesse, les bras charger. En effet, elle tenait, une enceinte radio, connectée à un CD, un micro et une mini-batterie portative. Elle vous ordonna alors :
Les garçons ; dépêchez-vous ! On sort.
Tu ne te fis pas prier et rejoignis ta cousine tandis que Rémi traînait les pieds en bougonnant. Une fois dehors, Noa vous expliqua ce qu'elle comptait faire : Elle comptait montrer à son idiot d'ex ce qu'il en coûtait de la trahir. En rentrant de son cours de moderne-jazz, elle l'avait surpris, avec une autre fille. Il s'était excusé, avait essayé de trouver des excuses mais Noa l'avait quitté, le traitant de tous les noms, il l'avait mérité selon elle. Une fois le récit de la brune terminé, tu la regardais avec encore plus d’inquiétude. Qu'allait-elle inventer pour se venger ? Elle était capable de tout.
Arrivé devant la maison du démon angélique en question, sortie ses affaires de son sac et vous expliquâtes ce qu'elle comptait faire. Elle confia ensuite le disque qui contenait la démo à ton cousin pour qu'il puisse vérifier le mixage, te demanda d'installer ta batterie et surchauffa. Après avoir entendu le pan de ta cousine, tu étais moins inquiet, il ne concernait aucune violence et avec un peu de chance, personne ne serait blessé. Noa voulait juste se défouler et puis, ils se remettraient ensemble, ça se passait toujours comme ça mais, en temps normal, tu ne faisaient pas partie de la combinaison. C'est sans doute pour ça que ton cousin n'avait que peut rechigner. Lui, savait sûrement ce que la jeune fille comptait faire, et toi qui te serais inquiété pour peu de chose, soupira de soulagement. Tu devais juste jouer de la batterie, tu devrais y arriver, tu en jouais, chez toi depuis quelques années. Alors, la musique commença et tu oublias pourquoi tu étais là. Tu jouais juste, c'était amusant et apaisant. Ta cousine elle chantait :
Arrivé devant la maison du démon angélique en question, sortie ses affaires de son sac et vous expliquâtes ce qu'elle comptait faire. Elle confia ensuite le disque qui contenait la démo à ton cousin pour qu'il puisse vérifier le mixage, te demanda d'installer ta batterie et surchauffa. Après avoir entendu le pan de ta cousine, tu étais moins inquiet, il ne concernait aucune violence et avec un peu de chance, personne ne serait blessé. Noa voulait juste se défouler et puis, ils se remettraient ensemble, ça se passait toujours comme ça mais, en temps normal, tu ne faisaient pas partie de la combinaison. C'est sans doute pour ça que ton cousin n'avait que peut rechigner. Lui, savait sûrement ce que la jeune fille comptait faire, et toi qui te serais inquiété pour peu de chose, soupira de soulagement. Tu devais juste jouer de la batterie, tu devrais y arriver, tu en jouais, chez toi depuis quelques années. Alors, la musique commença et tu oublias pourquoi tu étais là. Tu jouais juste, c'était amusant et apaisant. Ta cousine elle chantait :
Jamais mal, dans ma peau,
tous les jours, je sais c'que j'vaux
même si ton cœur est faux
je te parlerais de mes maux
je n't'en veut pas,
c'était comme ça
je n'm'en veut pas
ce n'est pas ma faute à moi
je n'ai rien, à te dire
sinon que... sinon que...
je suis libre, je suis libre
…
je suis libre, je suis libre
…
Pendant quelques minutes encore, Noa chantait, la foule s’accumulait et tu te sentais de plus en plus mal, coincé dans la masse qui vous regardait. Heureusement, la plupart des gens regardaient ta cousine et tu réussis donc à finir la chanson sans faire de fausse note. À la fin du morceau, alors que les gens, tenus en distance par la musique approchaient, tu craquas et t’enfuis, les larmes aux yeux après avoir balbutié quelque excuse vague. Tu ne voulais pas que l'on te regarde, ces gens te faisaient peur. Tu avais conscience que ta réaction allait t'attirer des ennuis pourtant, tu n'y pouvais rien et continuais de courir. Ce n'est que lorsque tu remarquas que tu étais sortie de la ville et que tu marchais désormais dans les champs que tu ralentis, soucieux de ne pas te perdre. La peur qu'avaient provoquée ses gens cédait place à l'angoisse d'être dans cet endroit plein de vampires et de démons où l'on pouvait t'attaquer. Tu regardais autour de toi, craintif que quelqu'un te voie. Une branche craqua. Tu criais et te mis à courir, les larmes aux yeux. Tu regardais derrière toi, pour voir si l'on ne te suivait pas...
- Ah !
Tu poussais un petit crie. Tu venais de tomber, pourtant, tu n'avais pas mal. Tu rouvris les yeux, surpris. Le sang te monta au visage et celui-ci prit une belle couleur rouge fraise : tu étais tombé sur quelqu'un. Tu étais tellement gêné que, momentanément, tu avais oublié que tu avais peur de parler aux nouvelles personnes et balbutias, plus rouge encore :
Je suis dé-désolé ! Je n'ai pas pas fait exprès. Je ne …
Tu t’arrêtas net ; cette personne sur qui tu étais tombé : c'était un un un...... vampire. Un vampire ! Tu n'étais plus gêné mais terrifié, n'osant plus faire un geste de peur que ce vampire te tue... quel horreur ! Le crie qui, das ta gorge, menaçait de sortir, restait coincé, tout comme ta respiration. Un vampire !
Je suis dé-désolé ! Je n'ai pas pas fait exprès. Je ne …
Tu t’arrêtas net ; cette personne sur qui tu étais tombé : c'était un un un...... vampire. Un vampire ! Tu n'étais plus gêné mais terrifié, n'osant plus faire un geste de peur que ce vampire te tue... quel horreur ! Le crie qui, das ta gorge, menaçait de sortir, restait coincé, tout comme ta respiration. Un vampire !
Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
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Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
Tu étais prisonnier ! Ce vampire, après t'avoir clairement signifié qu'il était un BSE, s'était assis sur toi, te retenant les bras. Il ne voulait pas que tu partes, il voulait te manger. Tu ne voulais pas ! Mourir n'était pas dans tes plans et tu préférais rester en vie et ne pas devenir le jouet d'un vampire, aussi gentil soit-il. En outre, celui-là n’avait pas l'air particulièrement gentil. Enfin, tu ne voulais pas être médisant mais, vu qu'il t'avait plaqué au sol, tu avais quelque doute sur sa motivation et tu n'appréciais pas du tout être coincé par terre, un vampire sur toi, impossible d'agir.
C'est pour cela que ta lèvre inférieure se mit à trembler, ainsi que tout ton corps, et que le sang te monta aux oreilles. À ce moment, que le vampire qui voulait te manger -ce qui était normal pour un vampire BSE mais que tu n’appréciais pas pour autant- demanda : Alors dis-moi, comment s’appelle le plat du jour aujourd’hui ?
C'est pour cela que ta lèvre inférieure se mit à trembler, ainsi que tout ton corps, et que le sang te monta aux oreilles. À ce moment, que le vampire qui voulait te manger -ce qui était normal pour un vampire BSE mais que tu n’appréciais pas pour autant- demanda : Alors dis-moi, comment s’appelle le plat du jour aujourd’hui ?
Il voulait discuter . Tu n'y étais pas tout à fait disposé mais tu préférais parler avec le vampire plutôt que de te faire vider de ton sang mais... Il t’appelait plat du jour ! Il voulait vraiment te manger ! Devant cette évidence, tes yeux s’embuèrent et te ne sus plus quoi dire. Tu ne voulais pas être mangé mais que fallait-il répondre pour que ce BSE te laisse partir. Tu devais déjà répondre, même si ça devait mal se finir. Tu ouvris donc la bouche et balbutias, enfin essaya. Aucun son ne sortit de ta bouche, ce vampire de te faisait peur, tu n'osais le regarder mais pour parler à quelqu'un tu devais le voir. Avec toute la volonté que tu avais, tu levais la tête, la bouche toujours entrouverte comme pour parler mais toujours muet. Tu regardais alors le vampire, n'évitant plus son regard rouge sang, y accordant le tient vert, et bégaya, le visage rouge, ne cherchant pas à paraitre plus assuré que tu l'étais : Je-je ne-ne sait par qui-qui de-le plat du jour mais mais mais, je-je-je m'a-a-apelle Loki. Puis demanda, plus par politesse qu'autre chose, toujours rouge et les yeux pleins de larmes : Et-et vous qui-qui- êtes-vous ?
Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
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Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
Loki, hein ? Un joli nom pour un joli visage dis-moi, ce serait presque dommage de t’abîmer. Mais tu comprends, quand mes canines veulent mordre quelque chose, j’ai beaucoup de mal à les retenir. Souris le vampire en dévoilant sa denture parfaite. Parfaite ? Quelle pensée saugrenue C'était un vampire, c'était normal qu'il ait des dents blanches et surtout... horriblement aiguisées. Des dents qui faisaient très très très peur et qui voulaient te mordre, te dévorer. Tu le sentais, tu le savais. Le fait qu'il s'était penché encore plus près n'avaient qu'accentué cette certitude en plus de ton trouble et les rougeurs de ton visage qui descendait maintenant jusqu'au cou. Tu tentais de balbutier quelque mot mais ne réussis qu'à t'agiter pour rien alors que le vampire reprenait la parole : Mon nom est Yuri. Et, tu l’as sans doute remarqué, mais je suis un vampire. Une dernière volonté peut-être ?
Oui, il était un vampire, tu l'avais bien remarqué, il avait raison, mais tu espérais encore t'en sortir. Tu n'avais aucune idée du moyen et, alors que ta respiration t’accélérait et que, si c'était possible, ton inquiétude augmentait encore, tu doutais d'en trouver une d'ici aux deux minutes qui précédaient ta mise à mort. Ce vampire allait donc vraiment te manger, tu n'en doutais plus, tu n'en avais pas douté dès qu'il t'avait plaqué au sol et qu'il t'avait emprisonné. Pourtant, il t'avait demandé si tu souhaitais quelque chose avant de mourir. Voyons voir... Trouvé ! Tu ne voulais pas mourir, c'était aussi simple que ça. Mais, le vampire accepterait-il de te relâcher si tu lui répondais ça, si tu étais sincère . La sincérité, payait toujours, tu le savais, tu allais donc essayer de lui parler. Tu replongeas donc ton regard, si beau, dans celui du BSE, toujours moqueur et sur de lui et essaya de parler, sans grand résultat tellement tu étais paniqué. Tu respiras alors, et lâchas, tout d'un trac, d'une voix faible : J-j'aimerais que tu ne me tues pas, s'il te plaît. Ce-ce sera extrêmement gentil et être gentil avec les gens ne peut qu'apporter des bonnes choses.
Qu'est-ce que tu racontais ? Ce discours alla-il vraiment sauver ta peau? Tu avais des doutes et ainsi les larmes que tu avais refoulées remontèrent et commencèrent à couler sur tes joues, peu de larmes mais asse pour faire briller tes yeux vert et coloré tes joues d'une belle couleur écarlate alors que tu avais réussi à diminuer les couleurs de ton cou qui était redevenu joliment doré comme le reste de ta peau. Seul ton visage continuait d'être un peu plus rouge que le normal en plus de tes joues écarlate.
Les yeux brillant et plein d'inquiétude, tu attendais donc ta sentence, tout en espérant que celle-ci ne tombe pas.
Les yeux brillant et plein d'inquiétude, tu attendais donc ta sentence, tout en espérant que celle-ci ne tombe pas.
Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
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Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
Le Vampire lâcha un gloussement qui te fit tressaillir. Apparemment, cette situation l'amusait. Tu ne comprenais pas vraiment pourquoi. Cela dit, Tu étais la victime dans cette affaire, c'était donc normal que tu ne comprennes pas que ce vampire trouve le moment extrêmement drôle. Ce petit rire t'inquiétait. Ce BSE, qu'allait-il faire de toi. Peut-être qu'avant de te manger, il te ferait souffrir. Tu ne l’espérais pas, pas du tout . Après tout, c'était un vampire, qui sait ce qu'il pourrait faire. Cela dit, il était aussi possible qu'il te laisse partir, peut-être n'était-il pas aussi méchant que ça. Te ne le connaissais pas après tout. Pourtant, malgré ces belles pensées tu ne pouvais t’empêcher d'avoir horriblement peur de ce jeune vampire assis sur ton abdomen. Tu étais tellement dans tes délires que tu ne remarquas même pas le silence qui s'était installé dans le champ. C'est pourquoi, quand la personne-qui-te-faisait-peur pris la parole, tu sursautas. La voie doucereuse du Vampire te fit frissonner, son sourire compatissant en faisait autant. Ce dernier ne te rassurait guère. Pourtant, les paroles du vampire aux yeux rouges étaient gentilles :
« Hmm… Bon, très bien. Je ne boirais pas ton sang. Mais sache que c’est extrêmement cruel de ta part de me priver d’un tel repas…Comme tu le dis si bien, il faut être gentil. Moi je le suis, la preuve, je vais t’épargner. Mais puis-je en dire autant de toi ? »
C'était vrai... Tu te sentais pris de remords. À cause de toi, il ne pourrait manger. Et s'il mourrait de faim . Il n'avait qu'à pas devenir BSE ! Non, tu ne pouvais raisonner comme ça. Il y avait alors un problème, tu ne voulais pas qu'une inconnue meure par ta faute mais tu ne voulais pas mourir non plus. Tu te trouvais égoïste mais tu avais vraiment peur de mourir. Une peur irrationnel de la mort, de faire pleurer, du mal à ceux que tu aimais. Alors, tu essayais de survivre. Jusqu'ici, ça avait plutôt réussi. Tu aurais dû être plus prudent et ne pas tomber sur un vampire. Avant que tu puisses réfléchir à une réponse convenable, le vampire qui en voulait à ta vie reprit la parole :
« Bien sûr, je ne veux pas paraître médisant, tu m’as l’air d’une âme délicieusement charitable. Mais tu comprends que je puisse avoir des doutes ? Certes tu tiens à ta survie, mais tu ne penses pas à la mienne. C’est ça le deal entre un chasseur et sa proie. »
Comment faire alors ? Tu ne pouvais vraiment pas le laisser comme ça. Ce serait indélicat et très cruel. Tu devais trouver une solution tout en essayant d'en réchapper. Ton cerveau tournait à plein régime : que faire . Que faire . Que faire . T'enfuir, en e transformant par exemple, et l'abandonner ainsi n'était maintenant plus une solution mais te laisser mourir non plus. Lui dire de trouver une autre proie serait horrible pour la personne choisie et tu ne pouvais t'y résoudre. Tes tremblements reprirent alors, les larmes te montèrent à nouveau aux yeux. Ce n'est qu'en voyant que tu pouvais essuyer tes yeux embuer par les larmes que tu pris conscience que le BSE avait relâché tes poignets. Tu sursautas, il n'avait peut-être plus l'intention de te mordre, après tout . C'était peut-être un BSE compréhensif qui ne cherchait qu'à mordre ces Evoods accrocs aux vampires, car cela existait. Tu soupirais de soulagement. Pourtant, bien qu'ayant fait ce constat rassurant, quelque chose te disait qu'il valait mieux ne pas trop s'attarder ici. Tu la repoussas. Tu ne pouvais définitivement laisser ce gentil vampire seul sans nourriture.
Tu frissonnas en te rappelant que la nourriture ça aurait pu être toi. Tu tentas de chasser cette pensée de ton esprit mais elle revenait sans cesse à l'assaut. Tu essayas alors de te concentrer sur la façon d'aider ce BSE. Malheureusement, plus tu cherchais une solution, plus celle-ci semblait t'échapper. Après avoir prolongé le silence qu'il régnait, ne voyant pas d'autre moyen, tu levas la tête et demandas, des trémolos dans la voie :
Comment serait-il possible de t'aider ? Je-je suis désolé, je ne-ne trouve pas de solution à ton problème. Je préférerais ne pas mourir mais toi tu as besoin de manger. Je ne sais vraiment pas comment faire, désoler. Ainsi, si tu as une idée, je veux bien t'aider si ça ne fait de-de mal à-à personne. Je suis vraiment désolé.
« Hmm… Bon, très bien. Je ne boirais pas ton sang. Mais sache que c’est extrêmement cruel de ta part de me priver d’un tel repas…Comme tu le dis si bien, il faut être gentil. Moi je le suis, la preuve, je vais t’épargner. Mais puis-je en dire autant de toi ? »
C'était vrai... Tu te sentais pris de remords. À cause de toi, il ne pourrait manger. Et s'il mourrait de faim . Il n'avait qu'à pas devenir BSE ! Non, tu ne pouvais raisonner comme ça. Il y avait alors un problème, tu ne voulais pas qu'une inconnue meure par ta faute mais tu ne voulais pas mourir non plus. Tu te trouvais égoïste mais tu avais vraiment peur de mourir. Une peur irrationnel de la mort, de faire pleurer, du mal à ceux que tu aimais. Alors, tu essayais de survivre. Jusqu'ici, ça avait plutôt réussi. Tu aurais dû être plus prudent et ne pas tomber sur un vampire. Avant que tu puisses réfléchir à une réponse convenable, le vampire qui en voulait à ta vie reprit la parole :
« Bien sûr, je ne veux pas paraître médisant, tu m’as l’air d’une âme délicieusement charitable. Mais tu comprends que je puisse avoir des doutes ? Certes tu tiens à ta survie, mais tu ne penses pas à la mienne. C’est ça le deal entre un chasseur et sa proie. »
Comment faire alors ? Tu ne pouvais vraiment pas le laisser comme ça. Ce serait indélicat et très cruel. Tu devais trouver une solution tout en essayant d'en réchapper. Ton cerveau tournait à plein régime : que faire . Que faire . Que faire . T'enfuir, en e transformant par exemple, et l'abandonner ainsi n'était maintenant plus une solution mais te laisser mourir non plus. Lui dire de trouver une autre proie serait horrible pour la personne choisie et tu ne pouvais t'y résoudre. Tes tremblements reprirent alors, les larmes te montèrent à nouveau aux yeux. Ce n'est qu'en voyant que tu pouvais essuyer tes yeux embuer par les larmes que tu pris conscience que le BSE avait relâché tes poignets. Tu sursautas, il n'avait peut-être plus l'intention de te mordre, après tout . C'était peut-être un BSE compréhensif qui ne cherchait qu'à mordre ces Evoods accrocs aux vampires, car cela existait. Tu soupirais de soulagement. Pourtant, bien qu'ayant fait ce constat rassurant, quelque chose te disait qu'il valait mieux ne pas trop s'attarder ici. Tu la repoussas. Tu ne pouvais définitivement laisser ce gentil vampire seul sans nourriture.
Tu frissonnas en te rappelant que la nourriture ça aurait pu être toi. Tu tentas de chasser cette pensée de ton esprit mais elle revenait sans cesse à l'assaut. Tu essayas alors de te concentrer sur la façon d'aider ce BSE. Malheureusement, plus tu cherchais une solution, plus celle-ci semblait t'échapper. Après avoir prolongé le silence qu'il régnait, ne voyant pas d'autre moyen, tu levas la tête et demandas, des trémolos dans la voie :
Comment serait-il possible de t'aider ? Je-je suis désolé, je ne-ne trouve pas de solution à ton problème. Je préférerais ne pas mourir mais toi tu as besoin de manger. Je ne sais vraiment pas comment faire, désoler. Ainsi, si tu as une idée, je veux bien t'aider si ça ne fait de-de mal à-à personne. Je suis vraiment désolé.
Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
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Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
Ta proposition eut l'air de plaire au vampire car celui-ci lâcha un petit rire avant de te répondre, joyeusement comme si tu avais trouvé la solution à tous ses problèmes alors qu'il n'en était rien :
- Décidément, tu es vraiment plus angélique que n’importe quel ange avant toi ! Mais si tu tiens tant à m’aider, alors dans ce cas on doit pouvoir s’arranger… En tant que gentlemen, je serais contrarié de paraître sans manière, je te demande donc ton avis : que dirais-tu de partir sans peine de mes griffes, tout en me laissant simplement goûter à ton sang . Tu vois : j’y goutte un peu, juste assez pour me rassasier, et ensuite tu rentres tranquillement chez toi, avec rien de pire que quelques étourdissements et un possible mal de tête. Alors, qu’en dis-tu ?
Acheva-t-il en remontant ses mains jusqu'à tes épaules, t’empêchant ainsi de bouger la tête. Tu frissonnas ; sa proposition n'avait rien pour t'emballer. Te faire mordre n'était pas tout à fait quelque chose que tu prévoyais de faire. Ta première idée fut donc, instinctivement, de refuser l'offre du BSE. Pourtant, tu ne pouvais pas le laisser ainsi. Tu ne pouvais pas lui laisser mordre quelqu'un d’autre. Non pas parce que tu voulais-être mordue mais parce que tu ne voulais pas que d'autres aient mal. De plus, si tu refusais, il était possible que ce vampire, plutôt aimable, aie tellement faim qu'il en meurt. Ta conscience était donc en plein débat avec ton cerveau : tu n'avais pas la moindre idée de quoi faire. D'un autre côté, quoique tu finis par choisir, tu étais immobilisé. Le BSE assit sur ton torse ne te laissait que peu de marge. Tu ne pouvais même pas bouger la tête et le regarder face à face ce que tu trouvais tout de même assez frustrant. Ça t’embêtait de ne pas regarder les personnes avec qui tu parlais, ou négociais dans ce cas-ci, dans les yeux. Cela dit, ses yeux rouges étaient vraiment envoûtants et te faisaient vraiment peur aussi. C'est peut-être comme ça que les vampires emprisonnaient leurs proies. La technique ne semblait pourtant pas très développée car ton instinct te disait toujours de m'enfuir rapidement. C’était seulement ton empathie pour ce vampire et ta raison qui te permettait de ne pas te transformer en souris pour lui échapper. Cependant, puisque tu étais là, tu ne pouvais le laisser ainsi. Ne ce serait vraiment trop dur pour lui. Tu aurais ce « meurtre » sur la conscience toute la vie. De plus, il t'avait pratiquement promis que ce n'était pas trop dangereux. Malgré ces constatations, ton corps se remit à trembler. Tu t'apprêtais cependant à accepter l'offre du vampire quand tu sentis quelque chose grimper sur ton bras droit. Tu sursautas avant de tenter d'enlever la « chose » que tu ne pouvais pas encore voir. Tes gesticulations, très faible car tu ne voulais pas faire de mal sans le faire exprès au vampire, n'eurent pas pour seul effet de te faire connaître ce qui t'était tombé sur le bras : une araignée. Une de ces bêtes avec un gros corps et huit longues pattes que l'on trouvait parfois dans les champs et même en ville. Les araignées étaient un calvaire pour toi une de tes phobies qui te rendais vulnérable et complètement apeuré. Les larmes te montèrent à nouveau aux yeux et bientôt, tu ne pensais même plus au vampire sur toi. Tu ne le voyais même plus comme un carnivore, tu ne le voyais pratiquement plus d’ailleurs. Maintenant, l’araignée avait pris ton esprit et petit à petit emmaillotait tes pensées dans sa toile. Ta conscience finit pourtant par se rappeler de la présence de quelqu'un près de toi. Tu n'avais pourtant pas les idées assez claires pour te rappeler que ce « quelqu'un » voulait te manger. Tu balbutiais alors effrayé :
S'il te - s'il te plaît, sauve …
Tu poussas un cri, sans pouvoir finir ta phrase. La bête montait petit à petit jusqu’à ton épaule. Tu la sentais c'était horrible.
Enlève là, je t'en supplie ! S'il te plait. S'il te plait...
Finis- tu doucement, presque dans un chuchotement alors que tu avais si peur. Tétanisé, tu n’osais bouger et continuais de tremblé, un vampire et une araignée sur toi.
- Décidément, tu es vraiment plus angélique que n’importe quel ange avant toi ! Mais si tu tiens tant à m’aider, alors dans ce cas on doit pouvoir s’arranger… En tant que gentlemen, je serais contrarié de paraître sans manière, je te demande donc ton avis : que dirais-tu de partir sans peine de mes griffes, tout en me laissant simplement goûter à ton sang . Tu vois : j’y goutte un peu, juste assez pour me rassasier, et ensuite tu rentres tranquillement chez toi, avec rien de pire que quelques étourdissements et un possible mal de tête. Alors, qu’en dis-tu ?
Acheva-t-il en remontant ses mains jusqu'à tes épaules, t’empêchant ainsi de bouger la tête. Tu frissonnas ; sa proposition n'avait rien pour t'emballer. Te faire mordre n'était pas tout à fait quelque chose que tu prévoyais de faire. Ta première idée fut donc, instinctivement, de refuser l'offre du BSE. Pourtant, tu ne pouvais pas le laisser ainsi. Tu ne pouvais pas lui laisser mordre quelqu'un d’autre. Non pas parce que tu voulais-être mordue mais parce que tu ne voulais pas que d'autres aient mal. De plus, si tu refusais, il était possible que ce vampire, plutôt aimable, aie tellement faim qu'il en meurt. Ta conscience était donc en plein débat avec ton cerveau : tu n'avais pas la moindre idée de quoi faire. D'un autre côté, quoique tu finis par choisir, tu étais immobilisé. Le BSE assit sur ton torse ne te laissait que peu de marge. Tu ne pouvais même pas bouger la tête et le regarder face à face ce que tu trouvais tout de même assez frustrant. Ça t’embêtait de ne pas regarder les personnes avec qui tu parlais, ou négociais dans ce cas-ci, dans les yeux. Cela dit, ses yeux rouges étaient vraiment envoûtants et te faisaient vraiment peur aussi. C'est peut-être comme ça que les vampires emprisonnaient leurs proies. La technique ne semblait pourtant pas très développée car ton instinct te disait toujours de m'enfuir rapidement. C’était seulement ton empathie pour ce vampire et ta raison qui te permettait de ne pas te transformer en souris pour lui échapper. Cependant, puisque tu étais là, tu ne pouvais le laisser ainsi. Ne ce serait vraiment trop dur pour lui. Tu aurais ce « meurtre » sur la conscience toute la vie. De plus, il t'avait pratiquement promis que ce n'était pas trop dangereux. Malgré ces constatations, ton corps se remit à trembler. Tu t'apprêtais cependant à accepter l'offre du vampire quand tu sentis quelque chose grimper sur ton bras droit. Tu sursautas avant de tenter d'enlever la « chose » que tu ne pouvais pas encore voir. Tes gesticulations, très faible car tu ne voulais pas faire de mal sans le faire exprès au vampire, n'eurent pas pour seul effet de te faire connaître ce qui t'était tombé sur le bras : une araignée. Une de ces bêtes avec un gros corps et huit longues pattes que l'on trouvait parfois dans les champs et même en ville. Les araignées étaient un calvaire pour toi une de tes phobies qui te rendais vulnérable et complètement apeuré. Les larmes te montèrent à nouveau aux yeux et bientôt, tu ne pensais même plus au vampire sur toi. Tu ne le voyais même plus comme un carnivore, tu ne le voyais pratiquement plus d’ailleurs. Maintenant, l’araignée avait pris ton esprit et petit à petit emmaillotait tes pensées dans sa toile. Ta conscience finit pourtant par se rappeler de la présence de quelqu'un près de toi. Tu n'avais pourtant pas les idées assez claires pour te rappeler que ce « quelqu'un » voulait te manger. Tu balbutiais alors effrayé :
S'il te - s'il te plaît, sauve …
Tu poussas un cri, sans pouvoir finir ta phrase. La bête montait petit à petit jusqu’à ton épaule. Tu la sentais c'était horrible.
Enlève là, je t'en supplie ! S'il te plait. S'il te plait...
Finis- tu doucement, presque dans un chuchotement alors que tu avais si peur. Tétanisé, tu n’osais bouger et continuais de tremblé, un vampire et une araignée sur toi.
Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
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Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
C'est cette bestiole qui t'effraye tant ?
Tétanisé, tu ne bougeas pas trop effrayé pour oser un geste. Pourtant, tu finis par fermer les yeux essayant ainsi de ne plus penser à la bête qui grimpait sur ton bras. Ne pas y penser, ne pas y penser. Trop tard, tu y pensais. Tu la sentais cet animal sur ton épaule... Ah, non, tu ne sentais plus rien. La bête semblait être partie. Surpris, tu ouvris les yeux ; juste à temps pour voir le BSE engloutir l'arachnide. Sous l'effet de surprise tes joues, rouges jusqu'alors, reprirent leur teinte halée originelle. Tu ouvris grand les yeux, sous le choc. Manger un insecte . Mais quelle drôle d'idée ! Cela dit, il pouvait manger ce qu'il voulait. Cependant, tu sais que tu ne le ferais pas, jamais si possible. En plus de ta peur panique des araignées, tu ne pourrais pas manger un animal qu'il soit vivant ou mort. Cela dit, le vampire y était arrivé et il semblait satisfait de son geste :
Haha, et voilà ! Comme ça, elle ne t’embêtera plus. J’espère que cette vilaine petite bê-bête ne t’a pas fait changé d’avis quant à ma solution à notre… problème. Hein, dis-moi ? C’est que les araignées ne sont en aucune façon nourrissante pour moi, hélas. Ha, quelle détresse d’être condamné au même régime alimentaire, pour une vie entière ! Mais mon estomac crie famine, je t’en prie, décides-toi vite.
Oh, c’était vrai, tout à ta frayeur, tu avais oublié ce pauvre vampire qui avait tellement faim. Que faire déjà? Oui, accepter. Il avait dit que tu ne risquais rien de sérieux. Rien de mortelle en tout cas. À ce moment-là, comme pour achever de te convaincre, il ajouta:
Tu sais, une morsure de vampire ne fait pas vraiment mal. Mais je pourrais te payer un restaurant pour réparer les dommages que je t’ai causé, la prochaine fois. Ce serait une façon de te rendre la pareille.
Fit-il en en clignant de l’œil.
Mince ! En plus de l'affamer, tu lui avais mis quelque chose dans l’œil. Quelle horreur ! Tu allais le tuer ce pauvre vampire. Tu ne pouvais pas vraiment faire grand-chose pour son œil mais tu pouvais l'aider à se sustenter. Tu n'avais qu'a cédé un peu de ton sang. À cette idée, ton rougi à nouveau et ta belle peau bronzée devinrent écarlate au niveau des joues. Pourtant, tu te devais de l'aider ! Alors, déterminé, tu plongeas tes yeux verts, brillant sous la peur mais plein de volonté d'aider le vampire, dans les siens, rouge sang et visiblement de bonne humeur et pas plus incommodé que ça par la poussière qu'il avait dans l’œil et lui dit, sans tremblement pour une fois :
D'accord, je veux bien. Tu réalisais ensuite ce que tu avais dit et continuais en balbutiant : Si-si ça ne-ne te dérange pas. Par contre, si tu voulais bien ne pas me tué, s'il te plaît, je t'en serai extrêmement reconnaissant !
Terminas-tu en détournant la tête, gêné de prononcer ces mots et en même temps apeuré d'avoir accepté ce mal qui était pourtant nécessaire pour ce vampire. Tu fermas donc les yeux, fermant les yeux, attendant le coup fatal.
Tétanisé, tu ne bougeas pas trop effrayé pour oser un geste. Pourtant, tu finis par fermer les yeux essayant ainsi de ne plus penser à la bête qui grimpait sur ton bras. Ne pas y penser, ne pas y penser. Trop tard, tu y pensais. Tu la sentais cet animal sur ton épaule... Ah, non, tu ne sentais plus rien. La bête semblait être partie. Surpris, tu ouvris les yeux ; juste à temps pour voir le BSE engloutir l'arachnide. Sous l'effet de surprise tes joues, rouges jusqu'alors, reprirent leur teinte halée originelle. Tu ouvris grand les yeux, sous le choc. Manger un insecte . Mais quelle drôle d'idée ! Cela dit, il pouvait manger ce qu'il voulait. Cependant, tu sais que tu ne le ferais pas, jamais si possible. En plus de ta peur panique des araignées, tu ne pourrais pas manger un animal qu'il soit vivant ou mort. Cela dit, le vampire y était arrivé et il semblait satisfait de son geste :
Haha, et voilà ! Comme ça, elle ne t’embêtera plus. J’espère que cette vilaine petite bê-bête ne t’a pas fait changé d’avis quant à ma solution à notre… problème. Hein, dis-moi ? C’est que les araignées ne sont en aucune façon nourrissante pour moi, hélas. Ha, quelle détresse d’être condamné au même régime alimentaire, pour une vie entière ! Mais mon estomac crie famine, je t’en prie, décides-toi vite.
Oh, c’était vrai, tout à ta frayeur, tu avais oublié ce pauvre vampire qui avait tellement faim. Que faire déjà? Oui, accepter. Il avait dit que tu ne risquais rien de sérieux. Rien de mortelle en tout cas. À ce moment-là, comme pour achever de te convaincre, il ajouta:
Tu sais, une morsure de vampire ne fait pas vraiment mal. Mais je pourrais te payer un restaurant pour réparer les dommages que je t’ai causé, la prochaine fois. Ce serait une façon de te rendre la pareille.
Fit-il en en clignant de l’œil.
Mince ! En plus de l'affamer, tu lui avais mis quelque chose dans l’œil. Quelle horreur ! Tu allais le tuer ce pauvre vampire. Tu ne pouvais pas vraiment faire grand-chose pour son œil mais tu pouvais l'aider à se sustenter. Tu n'avais qu'a cédé un peu de ton sang. À cette idée, ton rougi à nouveau et ta belle peau bronzée devinrent écarlate au niveau des joues. Pourtant, tu te devais de l'aider ! Alors, déterminé, tu plongeas tes yeux verts, brillant sous la peur mais plein de volonté d'aider le vampire, dans les siens, rouge sang et visiblement de bonne humeur et pas plus incommodé que ça par la poussière qu'il avait dans l’œil et lui dit, sans tremblement pour une fois :
D'accord, je veux bien. Tu réalisais ensuite ce que tu avais dit et continuais en balbutiant : Si-si ça ne-ne te dérange pas. Par contre, si tu voulais bien ne pas me tué, s'il te plaît, je t'en serai extrêmement reconnaissant !
Terminas-tu en détournant la tête, gêné de prononcer ces mots et en même temps apeuré d'avoir accepté ce mal qui était pourtant nécessaire pour ce vampire. Tu fermas donc les yeux, fermant les yeux, attendant le coup fatal.
Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
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Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
Tu-tu-il... il t'avait embrassé ! Il avait posé ses lèvres sur les tiennes ! Non, ce n'est pas possible, pourquoi t'aurait-il embrassé ? Inutile de te voiler la face, c'était bien un baiser. Comment cela avait-il pus arriver. Il ne voulait pas te mordre au départ . Ses lèvres auraient dérapé . Rapidement, tu te repassas les événements qui s'étaient dérouler les quelques secondes précédant ce...baiser : après que tu as accepté de te faire mo-mordre, tu avais fermé les yeux, essayant de ne pas penser à la douleur que tu allais sans doute ressentir. Quelque seconde plus tard, après que le BSE ait essayé de te rassurer, sans vraiment réussir, tu avais été surpris de ne toujours pas sentir les crocs aiguiser du vampire se planter dans ta chair. Tu avais pourtant sursauté quand ses mains froides s'étaient glissé sous ton tee-shirt. Tu n'avais pu t’empêcher de frissonner quand il avait remonté ton haut, sûrement pour chercher une veine. Tu avais entendu son souffle se rapprocher, sentie son cœur battre, sûrement moins rapidement que le tien, et son visage pratiquement toucher ta peau, remonter jusqu'à la base de ton cou. C'est alors qu'il-qu 'il t'avait em-embra-embrasser et que tu avais ouvert les yeux, surpris et probablement plus rouge qu'une fraise bien mure. Et tu étais là, maintenant, toujours par terre, complètement tétanisé, avec un visage écarlate et ébahi par ce qui venait de se passer. Alors que tu te débattais avec toi-même et ton incompréhension du geste de ce vampire ; celui-ci repris la parole :
Hé bien, tu as un goût exquis ! Non, vraiment, je me dois te remercier. Et finalement, tu n’auras sans doute même pas mal à la tête. Je t’aurais bien mordu en prime, mais je ne suis pas un BSE, alors tu n’es pas dans mon régime alimentaire, navré si je t’ai porté à confusion. Et puis… J’embrasse bien, non ?
Un goût exquis ? Quoi ? Non ! Tu... cette phrase, aussi bizarre qu'elle soit eut le don de te faire rougir encore plus, si possible. Ce ne fut pourtant pas la phrase qui retint le plus ton attention. Il te semblait plus important qu'il ait avoué ne pas être un BSE. Mince, tu avais tout compris de travers. C'est vrai qu'il s'était présenté comme un vampire pas comme un buveur de sang d'Evoods. Tu avais juste mal interprété certaine de ses phrases. L’appellation « petit-déjeuner » ne m'avait pas aidé à y voir plus clair mais peut-être appelait-il tout le monde comme ça. C'était toi qui t'étais trompé. Cela dit, tu ne devrais pas te plaindre, tu ne serais pas mordue par un vampire en fin de compte. Cette constatation, le soulagement face à la morsure que tu n'aurais pas effaçait presque le fait que le vampire, pas BSE du coup, avait posé ses lèvres sur les tiennes. Presque, pas complètement. Comment oublier lorsqu'un vampire vous embrassait comme ça, sans préambule alors qu'il ne ressentait strictement rien pour vous ? De plus, tu avais Lya et tu avais l'impression de la trahir, ce qui te faisait mal au cœur. C'était comme si on te forçait à lui faire du mal. Tu ne voulais pas ! Ni lui mentir, ni l’embarrasser en lui parlant de ce baiser. Tu ne savais pas quelle option prendre et était complètement perdue.
En attendant, tu devais déjà trouver un moyen de sortir d'ici s'en offenser le vampire. Pour l'instant, celui-ci semblait plutôt amusé de son geste. La raison du ledit geste t'échappait donc. Pourquoi t'embrasser ? Pourquoi embrasser un Evood inconnue de toute façon ? Pour jouer ? Tu ne connaissais pas la culture des vampires après tout, peut-être étais-ce normal de faire ça pour eux. Ce geste qui semblait presque te traumatiser était peut-être monnaie courante chez ces êtres à longues dents. Confus, tu bredouillas, à l'attention du vampire qui semblait attendre qui tu répondes quelque chose, sans oser le regarder :
Merci de ne pas m'avoir tué.
Tu ne savais pas quoi rajoutait d'autre, à vrai dire. Tu savais à peine quoi penser, à vrai dire. Que devait-on penser lorsqu'un vampire, au lieu de vous mordre, vous donnait un baiser ? Y avait-il un mode d'emploi pour ce genre de situation ? Tu en doutais. Il n'y avait pas de mode d’emploi pour les choses comme ça, les imprévus journaliers. Tu devais t'en sortir seul et il n'y avait qu'une seule personne qui savait pourquoi, les lèvres du vampire s'étaient posées sur les tiennes, c'était lui-même. Alors, le visage complètement écarlate, tu osas lever les yeux vers le vampire pour lui demander
Pourquoi tu.. pourquoi m'as tu embrasser ?
Hé bien, tu as un goût exquis ! Non, vraiment, je me dois te remercier. Et finalement, tu n’auras sans doute même pas mal à la tête. Je t’aurais bien mordu en prime, mais je ne suis pas un BSE, alors tu n’es pas dans mon régime alimentaire, navré si je t’ai porté à confusion. Et puis… J’embrasse bien, non ?
Un goût exquis ? Quoi ? Non ! Tu... cette phrase, aussi bizarre qu'elle soit eut le don de te faire rougir encore plus, si possible. Ce ne fut pourtant pas la phrase qui retint le plus ton attention. Il te semblait plus important qu'il ait avoué ne pas être un BSE. Mince, tu avais tout compris de travers. C'est vrai qu'il s'était présenté comme un vampire pas comme un buveur de sang d'Evoods. Tu avais juste mal interprété certaine de ses phrases. L’appellation « petit-déjeuner » ne m'avait pas aidé à y voir plus clair mais peut-être appelait-il tout le monde comme ça. C'était toi qui t'étais trompé. Cela dit, tu ne devrais pas te plaindre, tu ne serais pas mordue par un vampire en fin de compte. Cette constatation, le soulagement face à la morsure que tu n'aurais pas effaçait presque le fait que le vampire, pas BSE du coup, avait posé ses lèvres sur les tiennes. Presque, pas complètement. Comment oublier lorsqu'un vampire vous embrassait comme ça, sans préambule alors qu'il ne ressentait strictement rien pour vous ? De plus, tu avais Lya et tu avais l'impression de la trahir, ce qui te faisait mal au cœur. C'était comme si on te forçait à lui faire du mal. Tu ne voulais pas ! Ni lui mentir, ni l’embarrasser en lui parlant de ce baiser. Tu ne savais pas quelle option prendre et était complètement perdue.
En attendant, tu devais déjà trouver un moyen de sortir d'ici s'en offenser le vampire. Pour l'instant, celui-ci semblait plutôt amusé de son geste. La raison du ledit geste t'échappait donc. Pourquoi t'embrasser ? Pourquoi embrasser un Evood inconnue de toute façon ? Pour jouer ? Tu ne connaissais pas la culture des vampires après tout, peut-être étais-ce normal de faire ça pour eux. Ce geste qui semblait presque te traumatiser était peut-être monnaie courante chez ces êtres à longues dents. Confus, tu bredouillas, à l'attention du vampire qui semblait attendre qui tu répondes quelque chose, sans oser le regarder :
Merci de ne pas m'avoir tué.
Tu ne savais pas quoi rajoutait d'autre, à vrai dire. Tu savais à peine quoi penser, à vrai dire. Que devait-on penser lorsqu'un vampire, au lieu de vous mordre, vous donnait un baiser ? Y avait-il un mode d'emploi pour ce genre de situation ? Tu en doutais. Il n'y avait pas de mode d’emploi pour les choses comme ça, les imprévus journaliers. Tu devais t'en sortir seul et il n'y avait qu'une seule personne qui savait pourquoi, les lèvres du vampire s'étaient posées sur les tiennes, c'était lui-même. Alors, le visage complètement écarlate, tu osas lever les yeux vers le vampire pour lui demander
Pourquoi tu.. pourquoi m'as tu embrasser ?
Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
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Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
- Pourquoi ? Quelle drôle de question ! Parce que j’en avais envie, tout simplement.
Parce qu'il en avait envie ? Quel drôle de réponse. Cela dit, c'était une réponse comme une autre. Tu ne pouvais pas lui en vouloir d'avoir répondue franchement.
…
Il en avait envie ? Il avait envie de t'embrasser ? Pourquoi ? Tu ne le connaissais pas et il avait posé ses lèvres sur les tiennes. Si il t'avais embrassé toi, il devait embrassé beaucoup de monde. C'était la première fois que tu embrassais quelqu'un d'autre que Lya. Non, tu n'avais embrassé personne, il avait frôlé tes lèvres ce qui était différent. Très différent.
Tu commençais à paniqué, ne sachant plus quoi faire. Les larmes te venaient au yeux. Te calmer. Tu devais te calmer. Pleurer ne ferais pas avancer la situation et surtout tu ne comprendrais pas d'avantage pourquoi le vampire avait voulut et t avait embrassé. Tu pris alors une grande inspiration pour te calmer. Une grande inspiration ? Tu pouvais à nouveau respiré correctement. Le vampire s'était posé par terre et avait quitté ton abdomen. Tu soufflas un coup avant que l'être à longue dent reprenne :
Navré si je t’écrase depuis tout à l’heure, mais je trouvais cela plus confortable pour moi,cela ne t’a pas trop gêné j’espère ?
Doucement, comme n'étant pas encore sûr de la bonne foi du vampire, tu te rassis également avant de bafouillé :
Non, ce... n'est heu... ce... désolé.
Tu te tus, incapable d’aligner trois mots cohérents, et baissas la tête, gêné. Tes pensés, tout autant que tes mots était embrouillé et tu n'arrivais pas à les ordonnées. Elles se bousculaient dans ta tête tout autant que les émotions dans ton âme. Tu fermas les yeux un instant,tentant en vain d'éclaircir tes tracas, tes pensées comme tes émotions, qui se mélangeaient en toi. En rouvrant tes paupières, tu était déjà plus calme bien que les questions, les sentiments tourbillonnaient toujours en toi.
Sans vraiment y réfléchir au préalable, tu traças dans la terre avec tes doigts :
Reconnaissante véritable
Incompréhension total
Tourbillon
Le vent souffla, emportant tes mots avec lui. Tu souris a la brise qui avait pris tes pensées avant de te souvenir d'où tu était. Tu te trouvais à coté d'un être qui pouvait te tué à tout moment bien qu'il ne semble pas disposé à le faire. Tu te retournas alors vers le vampire et plongea tes yeux vers dans les siens, rouge comme du sang. Tu ne savais pas quoi dire, tu espérais juste faire passé ta reconnaissance d'être en vie et ton agitation par rapport à ce qu'il venait de faire, les yeux encore humides, plein de larmes.
Parce qu'il en avait envie ? Quel drôle de réponse. Cela dit, c'était une réponse comme une autre. Tu ne pouvais pas lui en vouloir d'avoir répondue franchement.
…
Il en avait envie ? Il avait envie de t'embrasser ? Pourquoi ? Tu ne le connaissais pas et il avait posé ses lèvres sur les tiennes. Si il t'avais embrassé toi, il devait embrassé beaucoup de monde. C'était la première fois que tu embrassais quelqu'un d'autre que Lya. Non, tu n'avais embrassé personne, il avait frôlé tes lèvres ce qui était différent. Très différent.
Tu commençais à paniqué, ne sachant plus quoi faire. Les larmes te venaient au yeux. Te calmer. Tu devais te calmer. Pleurer ne ferais pas avancer la situation et surtout tu ne comprendrais pas d'avantage pourquoi le vampire avait voulut et t avait embrassé. Tu pris alors une grande inspiration pour te calmer. Une grande inspiration ? Tu pouvais à nouveau respiré correctement. Le vampire s'était posé par terre et avait quitté ton abdomen. Tu soufflas un coup avant que l'être à longue dent reprenne :
Navré si je t’écrase depuis tout à l’heure, mais je trouvais cela plus confortable pour moi,cela ne t’a pas trop gêné j’espère ?
Doucement, comme n'étant pas encore sûr de la bonne foi du vampire, tu te rassis également avant de bafouillé :
Non, ce... n'est heu... ce... désolé.
Tu te tus, incapable d’aligner trois mots cohérents, et baissas la tête, gêné. Tes pensés, tout autant que tes mots était embrouillé et tu n'arrivais pas à les ordonnées. Elles se bousculaient dans ta tête tout autant que les émotions dans ton âme. Tu fermas les yeux un instant,tentant en vain d'éclaircir tes tracas, tes pensées comme tes émotions, qui se mélangeaient en toi. En rouvrant tes paupières, tu était déjà plus calme bien que les questions, les sentiments tourbillonnaient toujours en toi.
Sans vraiment y réfléchir au préalable, tu traças dans la terre avec tes doigts :
Reconnaissante véritable
Incompréhension total
Tourbillon
Le vent souffla, emportant tes mots avec lui. Tu souris a la brise qui avait pris tes pensées avant de te souvenir d'où tu était. Tu te trouvais à coté d'un être qui pouvait te tué à tout moment bien qu'il ne semble pas disposé à le faire. Tu te retournas alors vers le vampire et plongea tes yeux vers dans les siens, rouge comme du sang. Tu ne savais pas quoi dire, tu espérais juste faire passé ta reconnaissance d'être en vie et ton agitation par rapport à ce qu'il venait de faire, les yeux encore humides, plein de larmes.
Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
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Re: Un démon tombé du ciel [PV Loki]
Hmmm, tu es vraiment mignon, tu sais ? Pour un peu, je t’embrasserais encore !
Une glace citron blanc, rose rouge, c'est à quoi ressemblait ton visage en ce moment. En effet, après avoir pâli, effrayé que le vampire se moque encore de toi, tu avais rougie sous le compliment inentendue du jeune non-BSE. Tu ne voulais pas qu'il t'embrasse une nouvelle fois. Même si il l'avait peut-être fait car il se sentait seul, un baiser t'avais déjà suffisamment perturbé et gêné pour que tu n'ai aucune envie qu'il recommence. Pourtant, semblant oublié cette idée farfelue à ton grand soulagement, le vampire reprit : Mais c’est que j’ai à faire ! Dis-moi, Loki, tu sais, je tiens absolument à m’excuser pour le quiproquo de tout à l’heure… c’est vrai, ce doit être effrayant pour un evood tel que toi de se penser face à un BSE !
C’est pour ça que je tiens vraiment à te faire un présent, pour réparer ma faute. Si tu refuses, j’en serais très triste... Ho, je pourrais le comprendre, après tout, je ne suis qu’un vampire, personne n’apprécierait un cadeau venant d’un vampire… Triste monde, hélas. Alors, je t’en prie, retrouve-moi dans une semaine, le même jour à la même heure et au même endroit. Cela me rendrait tellement heureux, si tu savais ! Je t’offrirais mon petit cadeau, et ensuite tu n’entendras plus parler de moi, je ne voudrais pas non plus t’importuner. Si c’est trop te demander, je n’aurais qu’à retourner chez moi… Seul avec mes regrets… Enfin, c’est comme ça…
Son expression était devenue tellement triste, contrastant nettement avec son assurance d'il y a quelque instant. Tu ne pus plus, à ce moment, comparé ce vampire, paraissant si seul, avec celui qui t'avais... qui s'était moqué de toi. Te ne pus faire autrement que ressentir une profonde empathie pour lui qui éclipsa tes hésitation quant au comportement à adopter avec lui. Tu ne pouvais pas le laisser comme ça, ce serait cruel. Que ce soit un vampire n'y changeait rien, laisser quelqu'un aussi seul ne te ressemblais pas et abandonner une personne qui se sentais mal aimé et triste contrastait profondément avec qui tu étais. Tu ne pensait pas pouvoir profondément l'aider mais tu ne pouvais pas refusé de le retrouver ici. Après tout, il ne t'avais pas manger aujourd'hui alors il ne le ferai pas non plus la semaine prochaine. De toute façon, tu te refusais définitivement à ne pas tenter d'aider une personne dans le besoin. De plus, le vampire voulait seulement te donner quelque chose et, bien que tu te demande ce que le vampire te réservait, c'était surtout ta peur de l'abandonner qui te faisait accepter.
Voyant que le vampire te regardait, avec dans les yeux, ce que tu analysais comme un triste espoir, tu lui souris timidement avant de hocher la tête :
Je serai là.
A ces mots, tes joues s'empourprèrent légèrement, même si tu n'avait rien à te reprocher, parler à des gens que tu ne connaissais pas depuis longtemps te faisait souvent cet effet, et tu te tue, ne sachant quoi rajouté. Tu espérai qu'ainsi tu pourrait l'aider, qu'il se sentirait moins seul.
Estimant avoir fait ce que tu devais, tu te leva alors doucement, manquant de retomber, tu était vraiment maladroit. Alors, t'excusant auprès du vampire, tu devais rentrer, ta cousine t'attendais pour pouvoir ranger son matérielle ou, même si cela avait déjà été fait, tu devais t'excuser d'être partie comme ça depuis ce qui te semblait être des heurs.
Avant de t’enfuir, tu épousseta tes ailes sombre, et salua encore une fois le vampire, gêné et bafouillant :
Encore merci de... de ne pas m'avoir manger. Je-je dois y aller, je suis désoler, vraiment. Je... au revoir. Désoler.
Ajoutas-tu précipitamment avant de t'éloigner promptement, encore sonner par cette rencontre. Ne sachant comment te comporter lorsque tu rentreras chez toi, ni à qui raconter ta mésaventure.
Une glace citron blanc, rose rouge, c'est à quoi ressemblait ton visage en ce moment. En effet, après avoir pâli, effrayé que le vampire se moque encore de toi, tu avais rougie sous le compliment inentendue du jeune non-BSE. Tu ne voulais pas qu'il t'embrasse une nouvelle fois. Même si il l'avait peut-être fait car il se sentait seul, un baiser t'avais déjà suffisamment perturbé et gêné pour que tu n'ai aucune envie qu'il recommence. Pourtant, semblant oublié cette idée farfelue à ton grand soulagement, le vampire reprit : Mais c’est que j’ai à faire ! Dis-moi, Loki, tu sais, je tiens absolument à m’excuser pour le quiproquo de tout à l’heure… c’est vrai, ce doit être effrayant pour un evood tel que toi de se penser face à un BSE !
C’est pour ça que je tiens vraiment à te faire un présent, pour réparer ma faute. Si tu refuses, j’en serais très triste... Ho, je pourrais le comprendre, après tout, je ne suis qu’un vampire, personne n’apprécierait un cadeau venant d’un vampire… Triste monde, hélas. Alors, je t’en prie, retrouve-moi dans une semaine, le même jour à la même heure et au même endroit. Cela me rendrait tellement heureux, si tu savais ! Je t’offrirais mon petit cadeau, et ensuite tu n’entendras plus parler de moi, je ne voudrais pas non plus t’importuner. Si c’est trop te demander, je n’aurais qu’à retourner chez moi… Seul avec mes regrets… Enfin, c’est comme ça…
Son expression était devenue tellement triste, contrastant nettement avec son assurance d'il y a quelque instant. Tu ne pus plus, à ce moment, comparé ce vampire, paraissant si seul, avec celui qui t'avais... qui s'était moqué de toi. Te ne pus faire autrement que ressentir une profonde empathie pour lui qui éclipsa tes hésitation quant au comportement à adopter avec lui. Tu ne pouvais pas le laisser comme ça, ce serait cruel. Que ce soit un vampire n'y changeait rien, laisser quelqu'un aussi seul ne te ressemblais pas et abandonner une personne qui se sentais mal aimé et triste contrastait profondément avec qui tu étais. Tu ne pensait pas pouvoir profondément l'aider mais tu ne pouvais pas refusé de le retrouver ici. Après tout, il ne t'avais pas manger aujourd'hui alors il ne le ferai pas non plus la semaine prochaine. De toute façon, tu te refusais définitivement à ne pas tenter d'aider une personne dans le besoin. De plus, le vampire voulait seulement te donner quelque chose et, bien que tu te demande ce que le vampire te réservait, c'était surtout ta peur de l'abandonner qui te faisait accepter.
Voyant que le vampire te regardait, avec dans les yeux, ce que tu analysais comme un triste espoir, tu lui souris timidement avant de hocher la tête :
Je serai là.
A ces mots, tes joues s'empourprèrent légèrement, même si tu n'avait rien à te reprocher, parler à des gens que tu ne connaissais pas depuis longtemps te faisait souvent cet effet, et tu te tue, ne sachant quoi rajouté. Tu espérai qu'ainsi tu pourrait l'aider, qu'il se sentirait moins seul.
Estimant avoir fait ce que tu devais, tu te leva alors doucement, manquant de retomber, tu était vraiment maladroit. Alors, t'excusant auprès du vampire, tu devais rentrer, ta cousine t'attendais pour pouvoir ranger son matérielle ou, même si cela avait déjà été fait, tu devais t'excuser d'être partie comme ça depuis ce qui te semblait être des heurs.
Avant de t’enfuir, tu épousseta tes ailes sombre, et salua encore une fois le vampire, gêné et bafouillant :
Encore merci de... de ne pas m'avoir manger. Je-je dois y aller, je suis désoler, vraiment. Je... au revoir. Désoler.
Ajoutas-tu précipitamment avant de t'éloigner promptement, encore sonner par cette rencontre. Ne sachant comment te comporter lorsque tu rentreras chez toi, ni à qui raconter ta mésaventure.
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